Communiqués

18
déc

Pour une protection contre le licenciement en accord avec les normes internationales: une initiative populaire est nécessaire

La médiation menée par le Conseiller fédéral Guy Parmelin pour adapter la protection contre les licenciements en Suisse aux normes minimales internationales a échoué. La faute à l’attitude irresponsable de l’Union patronale suisse et au manque de courage du Conseil fédéral. Il faut maintenant d’autres solutions pour enfin aller de l’avant en…

 
15
déc

Nouvelle convention collective de travail pour les coiffeurs

Les syndicats Unia et Syna ainsi que l'association professionnelle CoiffureSUISSE se réjouissent que le Conseil fédéral ait étendu le champ d'application de la CCT pour la branche de la coiffure. La protection des conditions de travail dans la branche se poursuit ainsi sans faille. La nouvelle CCT entrera en vigueur le 1er janvier 2024. La nouvelle…

 
13
déc

Ceva Logistics augmente les salaires, le personnel exige de vraies négociations

Pendant des mois, les employé-e-s de Ceva Logistics à Neuendorf (SO) ont exigé des négociations sur des augmentations de salaire. Par des lettres et une action de protestation en septembre, les logisticien-ne-s qui traitent les retours pour Zalando ont exigé que la direction de l'entreprise s’assoie à table avec le syndicat Unia pour négocier de…

 
11
déc

Financement uniforme des prestations de soins ambulatoires et stationnaires (EFAS): un affront pour les personnels de santé et les payeurs-euses de primes

Pour ses partisan-e-s, la révision de la LAMal intitulée EFAS, actuellement débattue au Parlement, est une panacée. Mais pour les payeurs-euses de primes et les personnels de santé, il s'agit en réalité d'une bombe à retardement. Les trois organisations du secteur santé que sont le SSP, Unia et Syna demandent instamment au Parlement de rejeter ce…

 
7
déc

Travailleurs contraints de dormir sur leur chantier dans la saleté

Des conditions insoutenables sur un chantier au cœur de Berne: depuis des semaines, des travailleurs de la construction embauchés en Hongrie doivent manger, dormir et survivre sur place, entre la saleté et les outils. Et ce n’est pas tout: ils se sont fait arnaquer de milliers de francs de salaire. Ce n’est qu’après une action de protestation ce…