Vania Alleva, présidente d’Unia, s’est montrée combative lors de son discours d’ouverture: «Il y a 20 ans, nous avons fondé Unia pour résister à des temps difficiles en tant que syndicat. Unia s’est implanté comme un syndicat fort et combatif. Nous contribuons de façon décisive à de meilleures conditions de travail, à la sécurité sociale et à davantage de justice en Suisse. Parfois irritants, nous sommes toujours déterminés à défendre les intérêts des travailleuses et travailleurs».
La montée de la droite populiste est préoccupante. Vania Alleva a souligné à cet égard qu’il était plus que jamais nécessaire d’agir collectivement: «la peur et la résignation sont de mauvaises conseillères. Ce contexte difficile doit au contraire nous stimuler à renforcer notre engagement au service de la solidarité, de la justice, des droits pour toutes et tous et de la participation démocratique. En ces temps troublés, les syndicats sont plus importants que jamais».
Au lieu de résoudre les crises sociales, les politicien-ne-s de droite et d’extrême droite du monde entier utilisent les migrant-e-s comme des boucs émissaires. Le syndicat Unia condamne vigoureusement cette attitude et aborde les vrais problèmes avec un texte d'orientation, dans lequel il fixe ses priorités:
Ce texte d'orientation a été adopté après un débat animé.
Demain, les sujets suivants seront à l'ordre du jour de la seconde journée du congrès:
Deux communiqués de presse sont prévus pour vendredi, deuxième journée du congrès.
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Syndicat Unia 2025