Generali : succès partiel pour les employé-e-s
Les salarié-e-s de Generali ont accepté la proposition de la direction de maintenir 48 postes à Nyon, au lieu d’une délocalisation de 108 emplois dans le canton de Zurich, tout en exigeant des garanties pour le maintien effectif de ces postes. Certain-e-s employé-e-s ont décidé de démissionner. Il reste à assurer l’avenir des 41 postes encore menacés, entre délocalisation et un projet d’externalisation sur Nyon.
Le syndicat Unia mandaté
A l’unanimité, l’assemblée générale mandate Unia et la délégation du personnel pour négocier l’intégralité du plan social. L‘AG exige qu’un véritable planning de négociations soit établi d’ici jeudi. Les négociations doivent être menées directement avec la direction, et aboutir d’ici au 20 février.
La consultation a porté ses fruits
Après plus de 4 semaines de travail sur le projet de restructuration, les salarié-e-s ont livré plus de 150 pages d’analyses et de propositions très concrètes pour augmenter l’efficacité et la qualité des prestations.
Pendant la consultation, les employé-e-s ont dû organiser deux demi-journées de grève pour faire respecter leurs droits : une première chez un assureur suisse.