Promotion pour Uber: lettre ouverte au CEO des CFF Andreas Meyer
Le modèle d’affaires d’Uber est basé sur le non-respect des lois suisses et des décisions officielles. Comme la lettre le rappelle, Uber refuse jusqu’à présent à ses chauffeuses et chauffeurs le statut d’employés.
Dispositions légales
Uber ignore les dispositions légales relatives à la durée du travail, aux périodes de repos et à la protection de la santé. Vania Alleva et Giorgio Tuti démontrent que cette entreprise encourage systématiquement le travail au noir et impose à son personnel une situation précaire d’indépendance fictive.
Les CFF doivent se distancier des pratiques illégales d’Uber
Unia et le SEV exigent que le CEO des CFF Andreas Meyer renonce à intégrer Uber dans l’application CFF et qu’il se distancie des méthodes de cette entreprise.