300 salarié-e-s réunis à Genève contre les licenciements chez Richemont
Les salarié-e-s des deux entreprises exigent du Groupe Richemont de renoncer à la suppression de 211 postes de travail. Ils préconisent également l’introduction du chômage partiel comme alternative en attendant une embellie. En effet, le bénéfice réalisé le montre: même dans cette période difficile de ralentissement économique, le Groupe Richemont a la capacité de fournir du travail à tout le personnel. Les employé-e-s demandent à la direction de refaire un point de la situation économique des entreprises une fois que seront passés les grands salons horlogers de Genève et Bâle.