L’introduction immédiate du salaire minimum neuchâtelois est une bonne mesure pour lutter contre les salaires indécents qui n’offrent même pas le minimum vital. Mais des contrôles sont indispensables pour veiller à son application. Les services de l’administration cantonale devront les effectuer. C’est pourquoi Unia demande au Conseil d’Etat neuchâtelois d’allouer des ressources supplémentaires pour permettre à son administration d'y procéder.
Nouvelle permanence Unia
De son côté, Unia organise à l’attention des salarié-e-s du canton (membres Unia ou pas) des «permanences salaire minimum» gratuites chaque semaine dès le 25 septembre de 15h à 18h, le lundi à Neuchâtel et le jeudi à la Chaux-de-Fonds. Le but de ces permanences est de permettre à chacun-e de vérifier si son salaire correspond bien au nouveau minimum légal.